Per ardua ad astra

S’envoler pour son pays

À travers les difficultés, jusqu’aux étoiles, cette devise est celle de la Royal Air Force (RAF), des forces armées britanniques.

Le garde-temps Per Ardua ad astra – Spitfire est une montre-bracelet équipée d’un mouvement mécanique à remontage automatique, de fabrication française.

Fabriquée à partir d’un morceau de moteur d’un avion Spitfire de la Royal Air Force de 1940, la plaque présente sur la cadran renferme toute l’histoire de cet avion anglais.

 

Une avion très vite apprécié

Le Supermarine Spitfire est l’un des chasseurs monoplaces les plus utilisé par la Royal Air Force (RAF) et par les Alliés pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Il donna lieu à une diversification et à une multiplicité de versions jamais atteintes auparavant dans l’histoire de l’aviation.

Les ailes elliptiques du Spitfire lui ont donné une apparence très reconnaissable. Sa section transversale mince lui a donné une vitesse impressionnante (pouvant aller jusqu’à 650km/h). La conception initiale, brillante, du concepteur en chef Reginald Mitchell a permis à ses successeurs de continuer à l’améliorer. Ces améliorations ont fait du Spitfire un avion apprécié par les pilotes, puissant et maniable.

 

L’Histoire du P9398

La nuit du 31 juillet 1940, des attaques généralisées contre la navigation dans les eaux côtières du Sud, du Sud-Est et du Sud-Ouest sont en cours.
Le sud de la Galles et la Tamise ont fait l’objet d’une descente.

Peu avant 7 h 30, 3 Hurricanes de l’esquadron 111 ont interceptés et endommagés un Ju 88 de la Kampfgeschwader 76, à 15 miles au sud de Dungeness.

A 16h00, 12 Spitfires de l’esquadron No. 74 affrontent des Bf 109 de la Jagdgeschwader 2 en train d’attaquer le ballon de barrage Dover. Un vol de Spitfire a été repoussé par des Bf 109 de la Jagdgeschwader 51 et a perdu deux avions. Un Bf 109 est endommagé et s’écrase à Fécamp.

Pertes allemandes :
Pilotes : 6 | Appareils : 7

Pertes anglaises
Pilotes : 5 | Appareils : 7

Le Spitfire numéro P9398 appartenait à l’escadron 74 et fut piloté par le Sergent F.W. Eley. Cet avion fut abattu le 31 juillet 1940 par un Messerscmitt 109 piloté par Hauptmann Tietzen. Le Spitfire s’est écrasé en flammes dans la mer à l’extrémité de la jetée du port de Folkestone.

 

Le morceau utilisé dans cette montre provient du moteur Rolls-Royce Merlin de l’avion (plus particulièrement de la cloche contenant l’engrenage reducteur de l’hélice). Ce Spitfire fut retrouvé dans les années 60 lors des travaux effectués dans le port de Folkestone en Angleterre.

Inspiré des montres d’aviation de l’époque, le cadran noir accueille des chiffres blancs imposants, des repères luminescents aux index et des aiguilles cathédrales en contraste. Enfin, comme un hommage au pilote combatif que fut le Sergent F.W. Eley, la montre vous présentera la cocarde anglaise à pris la place du 31 sur le disque de date.

Caractéristiques techniques de la montre

– Diamètre : 42mm 
– Matière : Bronze poli tel une carlingue
– Verre : Saphir bombé
– Étanchéité : 100m
– Mouvement : France Ébauche automatique
– Fonctions : heure, minute, seconde, date
– Date : 31 remplacé par un point rouge sur blanc, formant la cocarde anglaise
– Réserve de marche : 44 heures
– Bracelet : de force en cuir 
– Boucle : en bronze 
– Cadran : noir, index luminescents, aiguilles cathédrale luminescentes.
– Plaque : provenance du Spitfire P9398 de l’escadron 74.

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